Sur nos droits
Les droits inalienables de l’homme, ne lui sont attribués que par croyance.
Aujourd’hui, les membres représentants des partisans de l’anti-religieux, nous enveniment avec des critiques de plus en plus virulentes des pratiques des croyants, ainsi que de leurs idées au sujet de la morale.
En vérité, nul n’est reposé sur un sol moins ferme que ceux qui de leur posture outrancière, se livrent a calomnier les croyants, et a les mépriser. Mais, véridiquement, qu’attendre d’autre de leur part?
Les droits des hommes
En 1789 La déclaration des Droits des Hommes à été écrite, instituant la tradition du Droit, et du libéralisme comme système politique occidental, qui n’a fait que se répendre parmi les hommes. Cette déclaration est fièrement brandit par les gens qui aujourd’hui ont apostasié, ont renié, et on dementi et commbattu les croyants mêmes qui l’ont écrite.
Car les principes fondamentaux de ce texte n’ont rien d’évident. Ils s’opposent a la nature, et au monde materiel, ils présupposent des choses sur les hommes, qui ne peuvent être justifiés par la science, et la raison. Au contraire ils relèvent de la croyance. En particulier ils proviennent des religions Abrahamiques, monothéistes qui ont donné naissance à l’humanisme.
La liberté de conscience, l’affirmation de l’égalité morale et personelle de tous les êtres humains, l’équité pour le faible, comme le puissant devant la loi, toutes ses idées ne proviennent que de l’Être Suprême, qui nous a donné vie, et libre arbitre.
Imposture Morale
Et aujourd’hui, les héritiers de cette tradition juridique, et de ses bienfaits, s’en reclamme, tout en dénigreant ceux qui sont semblables aux auteurs de ces mêmes ideaux. Afin de défendre les idées progressistes du jour, l’on atteste l’indéscence, la faute, et la culpabilité chez ceux qui restent sur leurs avis, et n’acceptent point ces changements.
Quelles leçons de morale, un athée peut-il donner, alors même que sa moralité ne provient d’autre que lui-même, sous quelle autorité, peut il pretendre a savoir discerner le bon du mauvais, alors qu’il n’a que son coeur pour le guider. Son coeur, si facilement corruptible, si aisément capable d’erreur, alors même qu’il a les meilleurs intentions.
L’homme est capable du meilleur comme du pire, mais l’homme s’égare facilement. C’est pourquoi Dieu a offert a l’hummanité les prophètes, et messagers, comme guides. Abraham, Isaac, Ismael. Jacob, Joseph, et Moise, Jésus, et Enfin Muhammad. Tous Descendants de la lignée que Dieu a ordonné de répandre ce message chez les hommes.
Les mêmes choses que l’on promeut aujourd’hui, furent proscrit jadis. Mais cela est le propre de la loi humaine, elle est futile et temporelle. En revanche la morale, elle, ne change point. Car le massacre, le meutre, le vol, le viol, et la mechanceté envers les faibles, n’ont été, ne sont, et ne seront jamais bons.
Demandez a l’homme qui croit, “d’ou tient tu tes conaissances du Bien et du Mal?”, et il vous répondras: “Des livres saints que nous ont légués nos ancètres, une bénédiction du ciel, parvenue a nous par les messagers de Dieu.”
En revanche celui qui ne croit point, lui, d’ou sort il ses conaissances? De son sein? Alors en quoi sa vision du monde est elle juste et bonne, tandis que la mienne ne l’est point?
Mensonges sur la morale
Parmi les méfaits, les actes de barbarie, de lacheté, et de corruption répandue dans notre société, il y en a nombreux qui sont promut et célébrés, alors que ceux qui ne les suivent pas, se tiennent a leurs foi, et leurs moeurs, sont calomniés.
La femme est libre aujourd’hui nous dit-on. Libre de devoir élever des enfants, et travailler. Libre d’utiliser, les tampons, la pilule et autres inventions, pour se rendre utile comme employée, et non pas éducatrice de ses enfants.
L’homme est libre, libre de procreer, sans imposition sociale du marriage pour proteger celle qu’il a inseminé.
L’homme peut parler, chanter, blasphémer, et publier dans le public, toutes les vulgarités qu’il imagine, mais il est preservé du prosélytisme des membres de sa société, qu’il l’appellent avec Dieu, a se renouer.
L’homme est libre, libre de commercer. D’être esclave de la banque et de son intêret.
La femme est libre, libre d’être objectifiée, d’être vue pour sa chair, dès le lycée. D’apprendre a se découvrir et a montrer sa peau, car sa valeur ne se mesureras qu’a son corps, qui vaut mieux que son coeur.
La femme est libre, libre de se prostituer, de vendre des videos en ligne, d’elle dans ses moments les plus privés.
Les humains sont libres d’exister, entourés de vices, et de calamités. Mais oubliés Dieu, cela vous vaut-il mieux?
Dans un enfer comme ceci, qu’elle belle délivrance que d’espérer sentir le Feu.
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